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Réforme du conseil de sécurité et avenir de l’onu
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Réforme du conseil de sécurité et avenir de l’onu

Wenxia guohan

Publié dans cultures du monde · préoccupations, n ° 7, 2022

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Le 26 avril 2022, l’assemblée générale des nations unies a adopté une résolution proposée par la principauté de Liechtenstein: Un membre permanent de l’organisation des nations unies son droit de veto lors de la Réunion du conseil économique et social de l’onu, le président de l’assemblée générale peut convoquer 193 non le débat dans les états membres de l’organisation des nations unies de la conférence a demandé que les membres permanents se justifier pourquoi l’exercice du droit de veto, et la participation d’un représentant de chaque pays peuvent s’exprimer à cet égard. Bien que la proposition ait re?u le soutien de plus d’une centaine de membres de l’onu, y compris les états-Unis, elle n’est pas juridiquement contraignante et ne peut pas bouleverser radicalement le statut de membre permanent du conseil de sécurité.

Seul, le 4 mai 2022, le président fran?ais macron et le premier ministre indien modi ont publié une déclaration commune réaffirmant le soutien de la France à la demande de l’Inde de devenir membre permanent du conseil de sécurité des nations unies; Le 23 mai, en marge du sommet états-uno-japon, le premier ministre japonais fumio kishida et le président américain biden sont convenus de promouvoir la réforme de l’onu, y compris celle du conseil de sécurité. Biden a exprimé son soutien à l’adhésion du Japon au conseil de sécurité.

Tous ces événements internationaux vont dans le même sens: la réforme du conseil de sécurité de l’onu. En tant qu’arrangement politico-institutionnel au c?ur de l’ordre international après la ?seconde guerre mondiale?, l’onu a apporté une contribution considérable dans les domaines du maintien de la paix, de la lutte contre le terrorisme, du changement climatique et du développement durable depuis plus de 70 ans depuis sa création. Cependant, à mesure que la situation mondiale évolue et que le contexte stratégique international évolue, le système actuel des nations unies est devenu, à bien des égards, paralysé et difficile à fonctionner. Son mécanisme central, le conseil de sécurité, risque à plusieurs reprises d’être ?désactivé?. Cet article passe en revue les racines, le parcours, les programmes et les difficultés de la réforme du conseil de sécurité de l’onu et tente d’explorer les futures orientations de réforme et de réorientation stratégique de l’onu à la lumière de l’évolution du paysage stratégique international.

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I. origine du conseil de sécurité des nations unies

Conception des ?quatre policiers? et naissance des ?cinq permanents?

Les Nations unies ont vu le jour sous le nom de la société des Nations (ligue des Nations) créée après la première guerre mondiale. La première Pierre théorique de la ligue, issue des ?principes de paix en quatorze points? du président wilson, visait à l’origine à créer une organisation de sécurité collective coordonnée par les grandes puissances pour empêcher la guerre entre les nations. Mais la réalité est assez brutale. De la guerre civile espagnole à l’invasion italienne de l’Albanie, des événements du 18 au deuxième guerre mondiale... Les efforts de la ligue pour mettre fin à la guerre mondiale ont toujours semblé échoués, voire totalement inefficaces, et ont été réduits à une plate-forme d’échange pour le partage international des bénéfices des grandes puissances.

Après la fin de la ?seconde guerre mondiale? en 1943 et la défaite allemande et japonaise terminée, roosevelt a commencé à se demander comment rétablir l’ordre international après la guerre. Ainsi fut développée la fameuse idée des ?quatre policiers? — les quatre géants antifascistes, les états-Unis, la russie, la Chine, la grande-bretagne et leurs alliés, qui abritent plus de 75% de la population mondiale. Mais l’idée s’est immédiatement heurtée à l’opposition des internationalistes, représentés par le secrétaire d’état américain de l’époque, herr hull, qui pr?ne toujours la création d’une organisation universelle de la paix mondiale basée sur l’égalité des nations, similaire à la ligue. En fin de compte, roosevelt a modifié sa pensée condominium des puissances à organiques de pensée traditionnels, de se demander s’il existe un conseil de sécurité des nations unies (" la police quatre variantes) et à l’assemblée générale des nations unies, parallèlement à la conception duelle puissances qui incarne une responsabilité particulière dans le maintien de la paix et de la sécurité internationales, tandis que les seconds incarne le principe de l’égalité souveraine des états.

En outre, churchill et staline étaient également opposés à l’idée de ?quatre policiers? au début, estimant que les trois policiers américains, soviétiques et britanniques seraient suffisants et que la Chine n’était pas nécessaire. Mais roosevelt insistait sur l’inclusion de la Chine dans le système des ?quatre policiers?, sous prétexte de son énorme contribution à la ?seconde guerre mondiale?. Du point de vue stratégique, roosevelt estimait que le gouvernement pro-américain de la république de Chine de l’époque, tchang ka?-chek, devait nécessairement tomber sur lui-même après la guerre et qu’il pouvait servir à tenir l’union soviétique en asie de l’est; Et l’urss s’y opposa pour les mêmes raisons. Bien s?r, les etats-unis, l’u.r.s.s. et l’Angleterre n’avaient pas prévu la guerre civile kuomintang et le changement de régime chinois qui suivirent. Du c?té britannique en faveur de la France dans le mécanisme central de sécurité car la France en tant que première puissance géopolitique, peuvent jouer un r?le de répression allemandes, bien s?r, de la nature britannique n’a pas anticipé, à l’ombre du rideau de fer en France a ouvert de l’union du charbon et de l’acier (et l’ue) "cette vaste stratégie de l’intégration eurasienne à nouveau leadership européen Une marginalisation déguisée de l’influence britannique. C’est ainsi que l’assemblée constituante de san francisco en avril 1945 a été finalisée.

?Coordination des puissances? : la conception du système du conseil de sécurité des nations unies

"Société" des nations unies, deux guerres mondiales de la conception du système international, mais aussi la valeur stratégique de base est la coordination des grandes puissances, de garantir les intérêts vitaux des cinq membres permanents ne créent pas des conflits ou la conception institutionnelle du conseil de sécurité de l’onu ont pour objectif de garantir que les cinq membres permanents se guerre n’avait pas eu lieu, Pour éviter de déclencher une troisième guerre mondiale, c’est la raison pour laquelle le p5 dispose d’un ?veto d’une seule voix?.

Il convient ici de clarifier quelques notions ambigu?s concernant les nations unies:

Tout d’abord, l’onu n’est pas une ?organisation supranationale? ou un ?gouvernement mondial?, mais demeure une ?organisation intergouvernementale?. En d’autres termes, si la communauté internationale est considérée comme une seule communauté, l’onu est à la fois une propriété et une commission;

Deuxièmement, l’onu n’a pas d’armée indépendante, mais possède une ?Force de maintien de la paix des Nations unies? multinationale, qui compte actuellement environ 120 000 hommes et est principalement équipée d’armes légères défensives. En d’autres termes, dans un système international anarchique, les nations unies ne disposent pas d’une force armée absolue et ne sont donc pas en mesure d’intervenir directement dans des conflits internationaux de grande envergure, mais de faire tout ce qui est en leur pouvoir pour intervenir par des moyens politiques.

Enfin, comment définir la relation entre l’onu et le p5 du conseil de sécurité? Comme l’onu elle-même n’est pas en mesure de conditionner les membres permanents, les cinq PGC ne peuvent que se contrebalancer. Autrement dit, les relations entre l’onu et le PGC sont plut?t celles du PDG et du conseil d’administration, tandis que les autres membres de l’onu sont des actionnaires généraux. Pour l’élection du secrétaire général de l’onu, la neutralité de l’onu est préservée en appliquant la règle tacite de la rotation intercontinentale et en stipulant que les citoyens des pays du p5 ne peuvent participer aux élections.

Ii — les problèmes structurels du système du conseil

Après la guerre froide, les appels internationaux en faveur d’une réforme du conseil de sécurité des nations unies ont augmenté. Objectivement, le système du conseil de sécurité des nations unies a été con?u sur la base des fruits de la seconde guerre mondiale. Il a donc lui-même des problèmes structurels originaux.

Premièrement, la question du monopole du pouvoir central. La nature et la composition du conseil ont des limites et des particularités historiques. Les cinq membres permanents ne sont pas élus, n’ont pas de durée, ne sont pas tournants et disposent d’un droit de veto. La charte des nations unies ne contient aucune disposition sur les qualifications des membres permanents. Alors que les membres de l’onu changent et que le contraste des forces internationales change, le problème des déséquilibres de pouvoir se pose à l’intérieur et à l’extérieur du p5: Du point de vue interne, du point de vue de puissance et de subordination politique, on divise les 5 membres permanents en "(en russe) de trois fréquemment deux souvent franco-britannique)" après la fin du conflit sont plus susceptibles de transformer russo-ukrainienne deux fréquemment (etats-unis) et "trois souvent franco-britannique (fédération de russie), en outre, brexit a permis de consolider l’axe franco-allemand de l’ue Considérant que l’allemagne a plus d’influence et de leadership dans l’union européenne que la France, et qu’elle a donc demandé à plusieurs reprises à la France de changer son siège permanent en un siège "européen"; D’un point de vue externe, certaines puissances régionales, telles que l’allemagne, le Japon, l’Inde et le Brésil, se considèrent comme ayant une force nationale supérieure à celle des pays individuels du p5, mais, pour de nombreuses raisons historiques et réelles, elles ne peuvent jouir de droits réciproques au conseil de sécurité des nations unies. C’est aussi un argument important pour que de nombreuses puissances régionales réclament une réforme du conseil de sécurité.

Deuxièmement, le déséquilibre de la représentation. Avec l’évolution de la situation internationale, notamment l’accélération du processus de décolonisation du monde après la conférence de bandung, de plus en plus de pays coloniaux ont accédé à l’indépendance et ont adhéré à l’onu, ce qui a entra?né une forte augmentation du nombre de membres de l’onu. Le nombre de membres du conseil (permanents + non permanents) représente 20% de l’ensemble des états membres. Ce phénomène de prolifération des états soulève trois questions concernant le déséquilibre de la représentation à l’onu: premièrement, le déséquilibre du rapport entre pays en développement et pays développés, les états-Unis, la France et la grande-bretagne étant développés dans le p5, et la Chine et la russie en développement dans le p5, soit 3 pour 2, alors que ce rapport est 1 au niveau mondial: 5 (31 pays développés, 162 pays en développement); Deuxièmement, le déséquilibre démographique. Le groupe des pays avancés (occidentaux), représenté par les etats-unis, la grande-bretagne et la France, ne compte qu’un milliard d’habitants dans les cinq p5, alors que la population mondiale dépasse depuis longtemps les sept milliards. Enfin, le déséquilibre géographique, puisque les pays du p5 sont répartis dans l’hémisphère nord sur trois continents: l’asie, l’europe et l’amérique du nord, fait de l’organe permanent un ?club de l’hémisphère nord?, tandis que l’amérique latine et l’afrique sont des continents très peuplés qui ne sont pas représentés.

Troisièmement, la question des limites et de l’incapacité des nations unies. Depuis la fin de la guerre froide, le paysage international a été bouleversé, avec l’effondrement du bloc soviétique et une période de dividendes d’hégémonie unipolaire pour les etats-unis. Cependant, leur domination mondiale a été progressivement remise en question. Lorsque l’onu n’a pas coopéré à l’intention stratégique des états-Unis sont JuYu avec l’assemblée générale des nations unies (ils ne peuvent en aucun cas être des arriérés ou intentionnellement la russie au nom de visa des états-Unis auprès de l’organisation des nations unies new york empêché son assistant aux réunions de l’onu au siège de l’organisation des nations unies, etc.), avant directement l’utilisation de contourner le système des nations unies, l’otan et l’union cinq actions indépendantes (comme la deuxième guerre du golfe, La France a utilisé son veto direct au conseil de sécurité pour bloquer les troupes américaines, tandis que les états-Unis se sont associés à la grande-bretagne et à l’Australie pour mener des opérations militaires indépendantes, les trois pays ayant commis des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité. En revanche, la fin de la guerre froide remarquable de la puissance de nombreux acteurs non étatiques, est typique des organisations internationales gouvernementales et non gouvernementales) et les sociétés transnationales (STN), ou les réseaux transnationaux de structures de pouvoir, ou dans un domaine donné, avantage technologique généralement pas le cas des gouvernements souverains (comme les grandes compagnies internet) Ou avoir une grande capacité d’argent et de lobbying... La capacité de n’importe quelle catégorie d’acteurs non étatiques à influencer ou à traiter des questions mondiales peut créer une structure concurrentielle avec l’onu. Et les nations unies ne disposent ni des ressources financières suffisantes, ni de la volonté et de l’autorité nécessaires, ce qui ne peut être évité. Ce qui précède limite considérablement les fonctions des nations unies et du conseil de sécurité de l’après-guerre froide, et risque de les rendre inefficaces dans certains domaines.

En conclusion, depuis la fin de la guerre froide, les voix réclamant une réforme du conseil de sécurité de l’onu se sont intensifiées.

Iii. élargissement du conseil de sécurité et veto

- au c?ur de la réforme du conseil de sécurité

élargissement du conseil

à ce jour, il n’y a eu qu’une seule réforme efficace du conseil de sécurité visant à élargir le nombre de membres: en décembre 1963, l’assemblée générale des nations unies a adopté une résolution portant le nombre de membres non permanents du conseil de sécurité de six à dix et le nombre de membres du conseil de sécurité de onze à quinze. En 1979, la 34e session de l’assemblée générale des nations unies a commencé à examiner un projet de loi intitulé "la question de la répartition équitable des sièges au conseil de sécurité et de l’augmentation du nombre de ses membres", qui portait essentiellement sur l’élargissement du conseil de sécurité ou l’augmentation de sa représentativité.

L’élargissement du conseil de sécurité comprend à la fois des membres permanents et des membres non permanents. Il y a deux grandes catégories de membres qui veulent devenir de nouveaux membres permanents du conseil de sécurité. Premièrement, les vaincus de la ?seconde guerre mondiale?, le Japon et l’allemagne, chargés d’un lourd bagage historique, ont épuisé toutes les possibilités, mais les résultats pratiques n’ont pas été optimaux. Deuxièmement, les puissances régionales parmi les pays en développement, comme l’Inde en asie du sud, le Brésil en amérique du sud, l’egypte au moyen-orient, l’Indonésie en asie du sud-est, etc. Ces pays sont des vassaux, soit pour le centre géographique du sous-continent, soit pour le chef des organisations locales d’intégration régionale. Selon eux, après la guerre froide, les relations entre les grandes puissances se sont généralement atténuées et les questions débattues au conseil de sécurité se sont surtout concentrées sur les conflits régionaux et les dissensions intra-étatiques. La plupart de ces problèmes existent dans les pays en développement, en particulier au moyen-orient et en afrique. Les pays en développement sont ceux qui connaissent le mieux leur propre situation, qui ont le plus à dire sur les questions d’intérêt national et qui méritent d’être davantage impliqués dans les travaux du conseil de sécurité.

Problèmes de veto

Un autre point central de la réforme du conseil est la question du droit de veto. Les cinq membres permanents prévus à l’article 23 (1) de la charte font l’objet d’un droit de veto. Le droit de veto est le reflet et le produit du contraste des forces internationales à la fin de la seconde guerre mondiale et la forme la plus violente de conflit national dans le cadre institutionnel des nations unies. En théorie, un veto ne reflète évidemment pas le schéma actuel du pouvoir international. Par exemple, l’Inde, avec une centaine de milliards d’habitants, est le deuxième pays le plus peuplé du monde, tandis que sa ?patrie?, le Royaume-Uni, compte plus de 60 millions d’habitants.

Sur le plan pratique, les débats sur la réforme du droit de veto sont de deux types: premièrement, il faut limiter ou supprimer le droit de veto du p5, et deuxièmement, si de nouveaux membres permanents doivent également avoir le droit de veto. Les partisans des premiers, comme l’Iran et Cuba, estiment que le veto est une négation des principes démocratiques auxquels l’onu doit se conformer, qu’il est contraire au principe fondamental de "l’égalité souveraine de tous les états membres" énoncé dans la charte et qu’il s’agit d’un acte hégémonique; En ce qui concerne ce dernier point, les partisans du maintien du droit de veto se répartissent en trois grandes catégories: Le deuxième groupe est celui des pays candidats qui aspirent à devenir membres permanents du conseil de sécurité, qui souhaitent améliorer leur statut international et se mettre sur un pied d’égalité avec le p5, comme l’allemagne et le Japon; Le troisième groupe est celui des pays qui insistent sur la force et l’efficacité des nations unies, arguant que l’abolition du veto mettrait en péril le principe de l’ ?unanimité des grandes puissances?, avec des conséquences désastreuses. Il est intéressant de noter que les états-Unis, tout en se pronon?ant en faveur de l’adhésion de l’Inde, ont hésité à lui accorder un droit de veto.

4. Il est difficile de voir la réforme du conseil de sécurité à la lumière du jeu entre l’alliance des quatre pays et le consensus sur la solidarité

Au milieu des années 1990, l’assemblée générale a adopté une résolution lan?ant un plan de réforme des nations unies et créant un ?groupe de travail sur l’élargissement du conseil de sécurité?, présidé par le président de l’assemblée générale et auquel participent tous les états membres. Depuis lors, les propositions de réforme du conseil de sécurité se sont multipliées, les plus représentatives étant le jeu entre les deux camps de l’alliance des quatre pays et du consensus de solidarité:

?G4 Nations? : les représentants en faveur de l’augmentation du ?permanent?

En 2004, l’Inde, le Brésil, l’allemagne et le Japon ont formé une ?coalition des quatre pays? pour tenter de devenir membres permanents du conseil de sécurité, à l’occasion de la réforme du conseil de sécurité. La coalition des quatre a demandé l’ajout de six membres permanents et de quatre membres non permanents au conseil de sécurité, dont deux nouveaux sièges permanents pour l’afrique et l’asie, et un nouveau siège permanent pour l’amérique latine et l’europe. Les nouveaux membres permanents doivent assumer les mêmes responsabilités et obligations que les membres permanents actuels, mais la question du veto ne doit pas constituer un obstacle à la réforme du conseil de sécurité.

?Uniting for Consensus (UFC)? : refus de multiplier les représentants de ?chang?

Le groupe ?consensus pour la solidarité?, surnommé ?club du café?, a été fondé en 1995 par l’ambassadeur italien Francesco Paolo Fulci, en association avec le Pakistan, le Mexique et l’égypte. Unis par le rejet de la proposition d’augmenter le nombre de membres permanents du conseil de sécurité, les quatre pays ont préféré encourager l’augmentation des sièges non permanents. Très rapidement, plusieurs pays, dont l’Espagne, l’Argentine, la Turquie et le Canada, sont devenus membres fondateurs du groupe et, en un bref laps de temps, une cinquantaine de pays d’asie, d’afrique et d’amérique latine. L’argument central du groupe du consensus sur l’unité est que l’augmentation du nombre de sièges permanents aggraverait encore les disparités entre les états membres et conduirait à l’extension d’une série de privilèges.

La 59ème session de l’assemblée générale de l’onu en 2005, une proposition du groupe du consensus ", qui a porté le nombre de membres non permanents de 10 à 20 membres non permanents élus par l’assemblée générale, un mandat de deux ans et rééligibles, quant aux critères et la rotation des sièges à pourvoir par élection par les pays de la région. Les dix nouveaux sièges non permanents du conseil de sécurité seront répartis entre les cinq groupes régionaux existants de l’onu, dont trois pour l’asie et l’afrique, deux pour l’amérique latine et les cara?bes et un pour l’europe occidentale et orientale. Bien que la proposition n’ait pas été acceptée, l’initiative a recueilli un large consensus parmi les états membres, y compris la Chine. Le 20 avril 2009, l’Italie, en tant que représentant du groupe "consensus pour la solidarité", a proposé un nouveau modèle de réforme, à savoir une nouvelle catégorie de sièges, toujours non permanents, mais élus pour un mandat renouvelable (de 3 à 5 ans) et non réélus. Ce nouveau siège ne sera pas attribué à un seul pays, mais à des régions à tour de r?le.

Le but du groupe ?consensus sur l’unité? est de contrer la proposition de la coalition des quatre pays de créer des membres permanents supplémentaires. En mai 2011, 120 états membres se sont joints au groupe pour une Réunion de groupe à rome.

Les difficultés de la réforme du conseil

Il est clair que la difficulté de la réforme du conseil de sécurité, qu’il s’agisse de l’élargissement des membres permanents ou de la suppression du droit de veto, est aussi le résultat de la superposition de multiples difficultés:

Premièrement, l’opposition des pays actuels du p5. En tant que parties prenantes dans les arrangements institutionnels centraux de la politique internationale après la ?seconde guerre mondiale?, les cinq membres permanents s’opposent naturellement du fond du c?ur à toute mesure de réforme qui touche à leur gateau. Sur ce point, la position du p5 devrait être de front uni. Alors pourquoi les états-Unis soutiennent-ils le Japon et la France l’Inde? Il y a deux considérations: le document de base, le problème ne réside pas dans la catégorie des membres permanents, mais le droit de veto, le soutien des états-Unis, du Japon et de l’Inde à un siège permanent mais pas le droit de veto, en d’autres termes, les etats-unis n’ont que deux paniers permanents frère obéissant et contrepoids sino-russe déguisée, pas ses compétences de fond; Deuxièmement, les etats-unis, le Royaume-Uni et la France savent très bien qu’une fois que l’Inde fera une demande d’admission, la Chine rejettera nécessairement par une seule voix, tandis que la demande du Japon sera rejetée conjointement par la Chine et la russie.

Deuxièmement, réforme du conseil de sécurité ou bouleversement de l’ordre d’après-guerre? Tout le système des nations unies est basé sur une répartition du pouvoir basée sur les fruits de la ?seconde guerre mondiale?, ce qui pourrait remettre en question la légitimité de l’ensemble des résultats de la ?seconde guerre mondiale? et de l’ordre international d’après-guerre si les japonais et les allemands étaient autorisés à s’y installer. Dans le cas du Japon, l’idéal politique le plus ambitieux des premiers ministres japonais de droite successifs a été de faire du Japon un pays soi-disant ?normal? par le biais d’une ?révision constitutionnelle?, dont le droit le plus important est le droit de guerre autonome prévu à l’article 9 de sa constitution pacifique. Si le Japon est autorisé à entrer sur le marché, il fournit une preuve déguisée de légitimité à la révision constitutionnelle du Japon. Une fois la révision réussie, le Japon pourrait non seulement engendrer une nouvelle tendance à la résurrection du militarisme nazi, mais aussi trouver des moyens de se libérer de l’attachement stratégique américain. En résumé, l’entrée du Japon pourrait évoluer vers une situation de ?plus à perdre? en asie de l’est, y compris la Chine, les états-Unis et la russie, et pourrait également engendrer un certain nihilisme historique et une illusion de renversement de l’ordre d’après-guerre.

Troisièmement, la concurrence régionale des états. Une autre conclusion peut être facilement tirée du cas de l’alliance des quatre pays et du jeu de consensus pour la solidarité: Sans même évoquer les héritages historiques, même en Inde, au Brésil apparemment des animaux inoffensifs ", ni facilement souvent, et pas les 5 membres permanents block, mais leurs concurrents et géopolitique pour les petites et moyennes des pays de la région, comme les deux plaques sous-continent pakistanais et le sous-continent sud-américain, en Argentine, au Chili, etc. Très simple: soit sur l’Inde, le Brésil, l’allemagne est sa les plaques géopolitique puissants, qui influent sur la puissance globale du pays petits voisins, si des titres de membres permanents, quant à son existence en tant que nation hégémonie régionale, encore moins en Inde, a hérité d’une tradition de l’empire du colonialisme britannique d’une arrogance "prioritaires en Inde. Pour éviter cela, la meilleure stratégie de jeu pour les petits et moyens pays de la région consiste à empêcher de manière concertée les grands pays de la région de s’installer, à condition qu’il soit clair qu’ils ne sont pas susceptibles de s’y installer. C’est aussi la logique fondamentale du jeu de confrontation entre les deux grands groupes ci-dessus.

Quatrièmement, il aura précipité l’autorité. Enfin, comme on le sait, les pays du p5, qui sont aujourd’hui les seuls au monde à posséder légalement des armes nucléaires (bombe atomique + bombe h), n’auraient-ils pas précipité un élargissement du nombre de membres permanents au conseil de sécurité, comme par exemple la prolifération nucléaire de l’Inde, etc.? Par rapport aux trois points précédents, ce premier pas imprévu aura le plus de chances de déraper et de mener à une catastrophe internationale.

Et conclusion: orientation visible de la réforme du conseil de sécurité et avenir de l’onu

En résumé, la réforme du conseil de sécurité de l’onu est difficile, mais il n’est pas difficile d’identifier deux directions de réforme plus évidentes:

Premièrement, le droit de veto est assorti de certaines restrictions. La suppression pure et simple du système de veto ne semble pas possible pour le moment, mais certaines restrictions ou mesures de surveillance pourraient être progressivement ajoutées. Par exemple, la proposition du Liechtenstein, qui vient d’être adoptée par l’assemblée générale, demande aux membres permanents de rendre compte de leur droit de veto.

Deuxièmement, l’élargissement des membres non permanents du conseil de sécurité conformément au principe d’équilibre régional. L’élargissement des membres non permanents est plus facile et plus pratique (il y a des précédents réussis) que celui des membres permanents. à l’avenir, il est très probable que nous procéderons d’abord à la promotion de l’élargissement des membres non permanents et de l’équilibre représentatif selon le principe de l’équilibre régional.

Selon les lois de l’histoire, la première guerre mondiale a donné naissance au système de la ligue et la seconde au système des nations unies. Peut-on alors considérer que seule la troisième guerre mondiale peut provoquer des changements subversifs dans le système international actuel? Et en raison de l’équilibre de la terreur nucléaire, la probabilité d’une troisième guerre mondiale sous la forme d’une guerre totale entre les puissances transcontinentales est presque nulle. Ainsi, bien que la conception institutionnelle des nations unies soit historiquement défectueuse et que l’onu risque de se désintégrer dans la gestion des crises internationales, il est difficile de prévoir dans un avenir visible un changement subversif de l’assemblée nationale des nations unies, à savoir un changement de siège du ?p5?.

Mais cela ne signifie pas que le système actuel des nations unies ne peut pas être modifié:

Tout d’abord, les voix se font entendre en faveur d’une réforme interne à l’onu. Même le système de membres du conseil de sécurité acceptera nécessairement progressivement certains ajustements de réforme modérés;

Deuxièmement, en raison de la désintégration des nations unies, il pourrait y avoir à l’avenir davantage d’organisations régionales de sécurité parallèles aux nations unies, con?ues pour résoudre les problèmes de sécurité de manière autonome, sans dépendre des nations unies, de manière à renforcer l’autonomie et la coordination régionales, ce qui affaiblirait également déguisée l’autorité des nations unies;

Enfin, la mission principale du conseil de sécurité de l’onu sera-t-elle de ?coordination des grandes puissances? à ?symbiose des grandes puissances?? Dans un contexte de polarisation entre la Chine et les etats-unis, les etats-unis ont tendance à contenir de l’union en matière de sécurité de l’osce lui tandis que la Chine antique philosophie "vision et la notion de communauté le sort de l’humanité, en d’autres termes, les états-Unis restent la continuation de la guerre froide, le sabotage, l’intimidation, les moyens de contr?le avec d’autres pays, tandis que la Chine à la non-ingérence dans les affaires intérieures" et "gagnant-gagnant" faire un gateau. à l’avenir, si le système des nations unies rempla?ait la logique négative de ?coordination des grandes puissances? par une logique plus positive de ?symbiose des grandes puissances?, il pourrait être possible de rena?tre le système actuel.

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